Allez, il est temps de vous rendre mon écrit sur la SimRacing Expo 2016 qui a eu lieu au Nurburgring (Allemagne) le 17 et 18 septembre. Bref, c‘est donc après quelques 7 heures de route que je débarque là-bas pour faire le plein de découvertes.
J’entre donc et découvre l’expo par la partie compétition avec une vingtaine de cockpits sur une estrade, alignés en demi-cercle et prêt à en découdre. Surplombant cette arène, un écran géant, ou plutôt un triple écran géant, pour la retransmission des courses et autres info-pubs. En face, le public qui regarde les courses avec derrière, la régie. L’espace Expo se trouve lui, derrière toute cette partie.
Niveau exposants, on a retrouvé JCL Simracing, Heusinkveld Engineering, Rfactor 2 (Studio 397), Iracing, Actoracer, Vesaro, Evotek, Up Racer, Simracing Manufaktur, ou encore Fanatec. C’est pas énorme quand on connait le nombre de marques existantes et notamment européennes mais on a eu droit à de belles réalisations. Petite déception, je pensais trouver plus de variétés de système comme par exemple des cockpits 6 DOF ou plusieurs stands avec shifters et autres freins à main, mais non.
Autre point étonnant, la faible représentation de la VR avec seulement un stand (Vesaro), ce qui est bien dommage vu les dernières sorties, les projets à venir et l’engouement du monde du simracing pour la VR.
Allez, partons donc à la découverte des stands. Comme je le disais dans un précédent article, j’ai un peu merdé sur l’aspect photos et vidéos donc j’ai fait au mieux pour illustrer tout ça et je reviens rapidement avec une vidéo, promis.
Iracing était le soft le plus représenté avec, pour leur stand, 4 cockpits où l’on pouvait s’affronter, notamment sur le Nurburgring en GT3. Niveau équipement pas de cockpit dynamique, c’est du full Fanatec avec cockpit Rennsport, volant CSW V2, Pédalier Clubsport V3 et simple screen.
Iracing était également représenté via la compétition ADAC Simracing Trophy qui s’est déroulé en plusieurs manches durant le salon mais aussi via d’autres stands qui utilisait le soft pour leurs cockpits comme par exemple JCL Simracing et son cockpit Fury dynamique.
La présence de Iracing et l’organisation de la compétition ADAC (en GT3 sur le Nurburgring) montre bien son objectif d’être un acteur incontournable pour l’organisation de compétition et il faut bien avouer que cette plateforme offre de nombreux avantages par rapport aux autres et notamment un service de gestion de championnat incomparable. Mais ça vous le savez déjà 🙂
Pour Fanatec, on a un stand dédié avec 2 cockpits Rennsport sous Assetto Corsa qui permettait de découvrir les 2 nouveaux produits que sont le volant CSL et le pédalier de la même gamme qui se situe en fait sous la gamme Clubsport.
On pouvait aussi trouver des jantes de volants et des pédaliers Clubsport avec plusieurs réglages de dureté grâce à des cylindres de gomme de différentes densités qui apporte une bonne nuance de ressenti même si le test se faisait debout.
Le volant CSL acceuille une bonne partie des composants du CSW V2 mais ici c’est du plastique qui est largement utilisé. Ce volant sera compatible PC et Xbox et l’ensemble des jantes de volants Fanatec pourra s’adapter dessus. C’est un volant de milieu de gamme que fait 320 €. Esperons que la fiabilité soit au rendez-vous.
Je dois dire que le ressenti n’est pas si mal, logique me direz vous avec son équipement mais c’est jamais gagné. Le réglage n’était pas forcement celui que j’aurais mis mais pour le petit essai « salon », je dirais qu’on est dans un bon rapport qualité / prix . Bien sûr un test plus poussé serait mieux, c’est pour cela que je ne m’étendrai pas dessus (peut-être plus tard…).
Au niveau du pédalier, on a le droit à de l’alu avec un système qui permet de disposer les différentes pédales à sa convenance au niveau de l’écartement. On pourra s’offrir un pédalier à deux pédales sans Load-cell à environ 90€, ou un modèle équipé d’un Load-cell intégré dans la tige pédale elle-même pour 220€. Le load-cell à une puissance max de 90kg (à voir). Un système de bagues de différentes dureté s’assembleront pour modifier sa résistance. En gros ça ressemble au système d’Heusinkveld Engineering mais en bien plus cheap bien sûr. On pourra aussi changer le grip des pédales avec des modèles de pads différents.
Niveau sensation, le pédalier n’offre pas de prestation particulière au niveau de l’accélérateur ou de l’embrayage, par exemple pas de possibilité de réglage de la course ou de la dureté. L’embrayage est toutefois plus dur que l’accelérateur. Pour le frein, je trouve le ressenti sympa mais sans plus, je ne suis pas conquis plus que ça. Ca manque de consistance mais la prestation, pour un entrée de gamme, n’est pas si mal
Les produits CSL devrait arriver en Novembre, j‘attends une réponse de Fanatec pour un test plus poussé à la maison, à suivre…
Sur le stand HE, on trouvais deux cockpits de la marque dont j’ai déjà parlé sur le blog, le Sim Rig GT. Ce cockpits est en alu, non dynamique mais jouit d’une très bonne qualité de fabrication et d’une forte rigidité. Pour l’équipement, on retrouve bien sûr les produit de la marques : Pédaliers Ulitmate, shifter et frein à main et pour le volant c’est du Léo Bodnard. Pour ce qui est du soft, c’était bien sûr Automobilista
Un présentoir permettait de découvrir les produits de la marque dans leurs différentes configurations et avec des réglages différents pour tester tout ça à loisir. J’ai donc fait un tour dans ces cockpits dont l’un était en configuration « hard » (pédalier et volant très dur) ce qui à mon sens était plus une démonstration de force qu’autre chose, notamment pour la pédalier vu la force qu’il fallait exercer dessus pour freiner.
J’ai donc pu tester le pédalier Ultimate qui est équipé de petits dampers (amortisseur hydraulique) sur chaque pédales. Lors de mon achat du modèle Pro j’avais hésité avec l’Ultimate mais la raison avait gagnée. Finalement j’ai été très séduit par l’Ultimate, l’apport du damper offre un autre toucher de pédale qui est très bon, avec plus de sensations (peut-être une review à venir sur le blog…)
Concernant le shifter séquentiel, il est effectivement très compact et le feeling est bon, franc et ferme, il y avait d’ailleurs les différents modèles de manche à essayer qui peut-être mériterais plus de grip. Pour le frein à main, il y avait plusieurs modèles différemment configurés et là aussi le feeling est bien sympa et la réalisation, comme avec le shifter est soigné avec le look qui caractérise les produits de la marque. Son maniement est vraiment bon, mais je n’ai pu le tester en utilisation « pilotage au frein à main ».
Niveau volant, le Bodnard envoi le paté et peut être très violent. Il reste toujours bien ferme et offre un super toucher de route. On ressent très bien toutes les aspérités et cette force omniprésente qui caractérise les Direct Drive. La question est toujours la même, vaut-il son prix ? Dur à dire vu ma faible expérience en Direct Drive et les infinis possibilités de réglages, je ne pourrais répondre à cette question qu’en ayant la possibilité de tester les deux de manière approfondie, qui sait, un jour peut-être…
Dans la série des cockpits inaccessibles pour nous autres simracers ordinaires, c’est EVOTEK qui nous a gratifié de la présence de deux de leur modèle, le SYM 027. Il s’agit de cockpit dynamique de type F1 qui, il faut bien l’avouer, sont d’une qualité de réalisation exemplaire avec l’utilisation de carbone et d’aluminium. Pour info la partie mécanique pèse 5.5 kg seulement. Niveau mouvements on est sur du 3 DOF (3 degrés de liberté : Pitch, Roll et Yaw).
Ici pas de question d’écran juste derrière le volant puisque on retrouve un ensemble triple screen énorme au bout du cockpit, cockpit qui fait donc partie du champs de vision. Sur les écrans seules les roues sont représentées, ce qui donne une expérience de pilotage finalement très sympa et immersive.
La mise en place dans le cockpit se fait donc en enlevant le volant (obligatoire) et la position de conduite est juste comme en vrai. On m’harnache ensuite fermement et m’explique le volant et notamment les réglages tels que ABS, Balance de frein ou Traction Control. Ensuite on me lance Assetto Corsa (sur le Nurb’ Evidemment) et je démarre.
Première difficulté, se faire aux palettes qui demandent une pression assez forte et n’offrent pas un ressenti habituel avec un petit clic, il faut être plus ferme mais on s’y fait. Ensuite Point intéressant, le harnais est dynamique puisque grâce à des moteurs, il vient compresser le corps lors des phases de freinages. La sensation est vraiment bien puisque la compression se fait bien sur l’ensemble du torse. A noter que c’est un des seuls simus avec ce type de technologie.
Au niveau de l’ensemble volant / pédalier, on a un du lourd. Le pédalier est hydraulique et le moteur est un direct Drive, forcement. Avec tous ça le ressenti est juste énorme, couplé avec un système de son bien affuté, on est dedans. Les mouvement du cockpit sont très bien, pas trop amples, juste ce qu’il faut, on est pas dans un manège mais dans un simu utilisé par des écuries de course. Les aspérités de la route et autres vibreurs sont bien retranscrits. Le lacet est bien ressenti aussi mais…
S’il fallait donner des mauvais points à ce cockpit, je citerais le point de pivot qui, a mon goût, est trop au centre du corps et donne l’impression, lors des pertes d’adhérence du train arrière, que la voiture est sur un axe centrale.
L’autre bémol serait le fait qu’on ne peut conduire que des monoplaces (imaginez truck simulator là dedans 🙂 mais là je chipote, non ?
Le seul stand qui nous à offert de la VR, avec un Oculus Rift CV1, est celui de Vesaro. Il fallait absoluement que je l’essaye, non pas pour la VR que je connais mais pour ce modèle de cockpit avec gros débattement des vérins D-Box et le pédalier HPP PRX dont j’avais fait un article sur le blog. Pour le volant, là aussi c’est du Léo Bodnar et niveau soft, on était sur PCars.
Je m’installe donc au volant, « chausse » l’Oculus sur la tête et à ce moment je comprend pourquoi si peu de stand on de la VR. La mousse du casque a absorbée la transpiration de tous ceux qui sont passés avant, c’est bien humide et hygièniquement parlant pas top. C’est pas grâve, au risque de perdre une partie de mon visage je continue et ressent donc les vérins m’élever avant de me lancer en course.
C’est partit, je suis sur le Nurburgring en GT3 et je constate immédiatement le plus apporté par les vérins à grand débattement. J’avais déjà tester du D-box et avait été bluffé par l’effet de suspension mais bien moins par le roll ou le pitch. Ici ces effets sont bien meilleurs et le grand débattement permet une combinaison des effets bien meilleure.
Pour le pédalier même topo, la pédale de frein à un super feeling, le système hydraulique est très efficace et apporte beaucoup de précision sur l’ensemble de la course, à la différence de certains système load-cell qui manque cruellement de précision et ressenti en début de course par exemple.
Au niveau du volant, c’est du bodnar, le top avec un réglage très bon. Mais j’en ai déja parlé plus haut (Cf. Partie Heusinkveld Engineering)
Passons maintenant à la visite du stand des frenchies du salon, à savoir la marque JCL Simracing qui est là pour nous faire découvrir ses cockpits. Si vous suivez mon blog vous avez pris connaissance du cockpit JCL To Be Faster V2 qui a été présenté dans un précédent article.
On trouve donc sur le stand deux cockpits en action, un statique qui est le modèle « compétition » des teams PRO Sim Racing Track (je reviendrais bientôt là-dessus) et le dynamique To Be Faster V3 Fury dynamique qui est un Frex-like 2 DOF. On trouve aussi le chassis de base JCL Seat, une version destinée à accueillir un siège Geko et une version « F1 » développé pour Sacha Fenestraz (pilote en Eurocup Formula Renault 2.0).
J’ai été concquis par les deux cockpits qui tournaient, d’une part par l’équipement mais surtout par la rigidité, les possibilités de réglages et leurs facilités. Pour serrer les dispositifs de réglages, moins d’un quart de tour suffit pour obtenir un blocage efficace. Pour que chaque personne puisse être au mieux installée et avoir la meilleure expérience c’est plutôt pas mal.
Sur le cockpit statique Sim Racing Track, un challenge hotlap en Porsche sur RF2 est organisé pour gagner un volant ou un pédalier. Le cockpit est équipé d’un pédalier HE Ultimate, d’un volant direct Drive de chez NSH Racing Product avec une jante SIMFAI. A noter que le volant offre un bien meilleur rendu que ce que j’avais tester lors de ma visite chez NSH, les ajustements réalisés ont portés leurs fruits. A noter la jante de volant SIMFAI qui respire la qualité, c’est vraiment du beau matériel mais il mériterait que les palettes soient plus proche de la jante pour gagner en ergonomie. Je ne reviendrais pas sur le pédalier HE que j’ai adoré. A noter que le vainqueur du challenge est lui aussi Français, Jéremy Bouteloup, bravo !
Le cockpit dynamique est lui équipé d’un pédalier HE Ultimate et d’un volant CSW V2. A la base un volant direct drive comme sur le statique était était prévu mais hélas il ne fonctionnait pas donc il a fallut faire sans. Le cockpit est animé par deux vérins électrique SCN 6 montés en parallèle ce qui dénote avec les installations habituelles. Le logiciel Lince de Logykal est là pour le mouvement et le cockpit arbore d’ailleurs une belle Simbox à l’éfigie de la marque. Au programme, Iracing sur la Nordschleife avec la toute nouvelle Audi GTO, énorme !
Sur le Fury, j’ai trouvé le réglage des vérins très bon, une amplitude limitée, une bonne fluidité et une bonne accélération qui ont leurs importances pour ce type de cockpit. On trouve aussi un système à base de ressort pour sentir la compression du harnais qui est moins efficace que sur le cockpit Evotek mais apporte sa contribution. La position de conduite est nickel, il ne manque plus que le lacet… 😉
La marque Allemande Actoracer nous a présenté deux cockpits de type Frex-like mais cette fois ci avec le lacet, cool ! Au menu : Simxperience Accuforce pour le volant, pédalier Heusinkveld Engineering Ultimate, shifter séquentiel Carman, Button-box Simracing Hardware et pour le soft c’est Assetto-corsa (j’ai pris le combo Lotus Exige V6 Cup sur la Nordschleife).
La réalisation est bien soigné, epuré. Pour faire simple je dirais presque que c’est un cockpit Simxpérience en mieux fini :). Le système de glissière pour le lacet est efficace, réactif et bien fait.
Niveau périphérique, je ne reviendrai pas ici non plus sur le pédalier HE, mais passerai au volant que j’ai vraiment bien aimé. Bon encore une fois c’est juste un « test en passant » mais j’ai trouvé le ressenti vraiment bien, peut-être moins violent qu’un Léo Bodnard mais tout aussi ferme et avec beaucoup de rondeur dans le mouvement.
Le mouvement est un peu plus ample que sur le JCL ce qui est dû aux réglages mais le ressenti, quoique différent, est tout aussi bon. Concernant l’effet de lacet, je reste assez convaincu mais me demande toujours si un petit désaxage avec le volant n’apporterai pas un peu plus de ressenti. Mis a part ça on est sur du super matos.
Sur le stand on trouvais aussi la marque Simracing Manufaktur (ex Simracing Store) qui nous présentait ses volants. Malgrès mon anglais passable j’ai pu échanger et découvrir le coté artisanal de la marque et j’espère pouvoir bientôt revenir dessus. Pour info, un des premier volant réalisé était présent et on pouvait voir les dernières réalisation ce qui illustrait l’évolution des produits.
Un des cockpit que je souhaitais essayer c’est celui de Force2motion qui est un 2 DOF qui se caractérise par une plateforme sous le siège que deux actuators viennent bouger. Le faible enconbrement et le bruit réduit est pour moi un atout face au vérins électriques SCN. J’avais déjà présenté ce système sur le blog il y a quelques temps.
Deux cockpits était présentée, un Flight sim statique mais pas en fonctionnement et un cockpit dynamique. Ce qui est dommage c’est le petit équipement du cockpit (pédalier et volant thrustmaster) qui contraste avec les autres stands. Point sympa, sur le stand une plateforme était exposé et bougeait en même temps que le simu afin de pouvoir observer le système de plus prêt.
Nous avons échanger et étions sur la même longeur d’onde avec un des gars de chez Force2motion sur le bien fondé des simus où seul le siège bouge, ça commence bien, passons à l’essai.
Nous partons donc sur Assetto Corsa sur le circuit du Nurburgring. Etant déjà perturbé par le réglage volant, j’ai trouvé celui du siège un peu trop fort et le fait de ne pas être sanglé fait perdre du ressenti et de la fermeté au mouvement. J’ai retrouvé des sensations proche de mon simu Frex mais le réglage ne m’a pas convaincu, trop d’amplitude et aussi un baquet un peu large qui gomme pas mal d’effet.
Bon, c’est un test « salon » et je préfère prendre du temps dans mes essais pour mieux découvrir les produits donc ne prenez pas ce retour au pied de la lettre. Et si Force2motion veut bien m’en prêter un je suis preneur 🙂
Passons maintenant sur le stand RFactor2 qui nous présente un cockpit Heusinkveld Engineering équipé comme ceux du stand de la marque : pédalier HE, volant Bodnard…
Quelques jours avant l’expo on a appris le partenariat entre ISI et Lumini et la naissance du studio 397. J’ai donc pris quelques renseignements et je peux vous confirmer qu’RFactor 2 va grandir de ce partenariat. Au programme, DX11 et la VR pour le premier semestre 2017, j’ai hâte de voir ce que ça va donner. A noter que des projets sont en cours pour développer un système de championnat sur la plateforme. Ca aussi je l’attend 🙂
Ensuite je prend place dans le simu pour un petit tour sur Suzuka, de ce côté là, pas de découverte puisque je connait RF2 mais avec un volant de cet acabi, il est clair que RF2 prend une autre dimension.
Bref, guettez, il va y avoir des news rapidement du coté de RF2.
Pour finir, je vous présente la marque allemande UpRacer qui est venue avec une remorque équipée de 2 simulateurs. Ce sont des simulateurs 2 DOF avec une coque moulée qui offre une belle finition et un triple screen.
Niveau soft on est sur Iracing et l‘équipement c’est du Fanatec. Chose sympa, un bout de « toit » est présent au dessus du triple screen afin de renforcer l’immersion. J’avais déja essayer ce type d’installation chez moi, c’était convaincant mais un peu chiant pour rentrer dans le cockpit, j’avais donc laissé tombé.
Hélas, je ne pourrais plus vous en dire plus car c’est mon oubli du salon. A force d’être à gauche et à droite et vu le monde présent sur l’ensemble des stands, le temps est passé très vite et je me suis donc retrouvé en fin de salon avec le constat amère de cet oubli. Je ferai mieux l’année prochaine, promis.
Comme je le disais au début de l’article, la Sim Racing Expo c’est aussi de la compétition avec l’ADAC Sim Racing Trophy. Une course de GT3 qui s’est déroulée en plusieurs manches sur Iracing et sur le circuit du Nurburgring, forcement.
C’était vraiment sympa de voir tous ces pilotes concentrés dans leurs cokpits se battre en piste. La transmission des courses sur écran géant était vraiment top, les clameurs du public lors des crashs et sorties de pistes étaient géniales, on se serait cru devant un match de basket :). Ces pilotes avec leurs tee-shirts pleins de logos de marques avait un vrai goût « real racing » et démontrait vraiment l’évolution que rencontre notre chère discipline.
Le salon a été riche en découvertes et en rencontres avec de bons accueils sur tous les stands. Enfin, c’etait quand même un peu tendu avec mon niveau d’anglais mais j’ai fait ce que j’ai pu :).
Encore merci à tous pour votre accueil et à l’année prochaine 🙂
– Rfactor 2 (Studio 397)
– Iracing
– Vesaro
– Evotek
– Up Racer
– Fanatec
SimRacing Expo – the perfect connection between virtual & real motorsport: virtual racing on game consoles and racing simulators is linked with real auto racing
Très bon article, comme toujours. J’ai une petite explication pour la quasi non présence des casques VR. Ca vaut ce que ça vaut. Je pense que pour les démonstrateurs, qui viennent sur le salon pour faire l’éloge de leur produit, le risque d’avoir des nausées à cause de casques VR n’est pas à prendre à la légère. Si certains n’y sont pas sensibles, la moyenne y est plutôt. Par ma part, je n’y crois pas à cause de cela, tant que l’oreille interne ne sera pas leurrées (il y a encore du boulot)
Merci pour ton commentaire Jacky. Pour la VR je ne partage pas tout a fait ton avis, je peux rouler plus d’une heure avant sans trop de soucis. Je dis sans trop de soucis parce que la problème que j’ai est plus de l’ordre du mal que de la maladie, j’ai les yeux qui pleurent et une barre au crâne. Mais pour quelques minutes ça va bien généralement. J’ai un seul pote qui a vomit :). Après le soucis c’est l’hygiène. On en parlais pour les volants avec Tanguy.
Je pense néanmoins que les démonstateurs du salon n’ont pas pris le risque.