Le V3 Fury Dynamique de JCL Simracing est arrivé…enfin !

J’en parlais dans l’article précédent en annonçant l’arrivée proche du JCL V3 Fury Dynamique et forcément la suite, et donc la réception, arrive avec cette article. Et enfin ! je dirais. Car l’aventure fût épique avec un retard prononcé. Mais très honnêtement, et travaillant aussi avec des transporteurs, je sais que ce n’est pas la faute de JCL SImracing, on est tombés sur un transporteur plus qu’incompétent avec un sens du service d’une profondeur impressionnante, un gouffre !

Bref, le colis est arrivé ce matin au boulot. C’est bien plus pratique pour décharger la palette car effectivement c’est une livraison sur palette à laquelle j’ai eu droit. JC me l’a proposée d’emblée lors de la commande et j’ai trouvé ça sympa. J’ai déjà monté un tas de cockpit, et même si celui-ci aurait pût être super sympa à assembler, avec le temps dont je dispose ça me semblait plus qu’adapté.

Une fois la palette sur le sol, je commence à inspecter pour voir si tout est ok. Je tiraille le film et tâte du profilés. Et c’est là que ce cher transporteur me revient en tête quand je constate un poc sur un profilé et de la peinture arrachée un peu plus tard. J’imagine un traitement soigné des palettes chez nos amis parce que je pense que ça à bouger car certaines parties basses du châssis sont  presque en dehors de la palette. Bon, c’est pas non plus très important mais ça fait chier. Là dessus JC me contacte et me propose directement de lui lister les profilés abîmés pour échange. Nickel !

Bon, je vous passe les détails du trajet travail domicile (merci à Derf pour le camion). On déballe donc pour le posage dans le salon et on tombe en premier devant le support mobile de siège qui surplombe le reste du colis. Alu super, belles couleurs, les équerres rouges sont top. C’est beau, bien rangé et bien calé.

J’ai donc reçu le châssis en éléments séparés.

– La partie mobile qui accueillera le siège baquet et les vérins

– La partie arrière du châssis où seront fixés les vérins

– La partie avant avec le support pédalier réglable en profondeur et inclinaison.

– Le support volant avec là aussi le réglage en hauteur et profondeur

La partie mobile viendra se fixer sur le châssis sur un silent bloc. Simple et efficace, comme sur le Frex. On retrouvera les tirants pour éviter le pivotement du siège et les fixations de vérins qui viendront se fixer au châssis fixe sur la partie arrière qui forme le U qui ferme le cockpit.

La partie volant est certainement la plus belle des pièces. Avec les glissières verticales on a un côté hyper technique et massif. Des ressorts sur les axes permettront de retenir le volant quand on règle la hauteur et ainsi évier de se fracasser les genoux avec le poids du volant. Cette partie volant reposera sur le dernier élément qui accueille le pédalier. Il viendra se poser sur d’autres glissières pour le réglage avant et arrière.

On trouvera aussi des glissières sur ce dernier élément qui est le gros morceau du châssis. Des glissières pour avancer et reculer le pédalier mais aussi des charnières pour l’inclinaison. Cette partie étant la plus soumise aux contraintes, quand on voit la taille et le nombre d’équerres, on est rassurés sur la rigidité.

A côté de ces éléments, il y d’autres colis, support shifter, support shifter, souris, équerres de fixation de baquet (des Sparco) et autres visseries. Et bien entendu, pour finir le tout, on aura les supports vérins avec les vérins montés et prêts à l’assemblage, la motion box Logykal…

J’ai fait un premier assemblage à blanc de quelques éléments mais pas le temps d’en faire plus ce soir. Je dois de toute façon changer des profilés abîmés (les plus chiants à changer je pense) et attendre d’avoir le temps de faire une vidéo pour déballer les colis. Bref, ce cockpit est pas prêt d’être assemblé (car en plus j’ai pas encore trouvé le baquet de mes rêves) et surtout parce que je pars en fin de semaine en vacances.

Bon je vous retrouve très vite pour la suite de ce projet…